“Il n’y a pas de femmes frigides. Il n’y a que de mauvaises langues.”

( silas rovers )

24 ans | étudiant en mathématique | groupe

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prénom|nom Anciennement Nazarov, puis Jones. Maintenant Rovers. Le nom est lourd de sens. Rejeton du tyran, le sale gosse est prince, fils de roi. Il n'en veut pas pourtant, le rejette comme un jouet indésirable et cassé. Silas, c'est court, c'est simple. Ça se pince entres les lippes, ça se glisse avec la langue. « Prophète », se serait-on foutu de sa gueule ? lieu de naissance Il est né à Moscou en Russie. nationalité|origine C'est le fils de l'hiver, un enfant des steppes. Son ancien patronyme le prouve, son accent prononcé le légitime. Il est Russe. Sujet d'un antique empire gouverné par de défunts Tsars, citoyen d'un pays abîmé par différentes guerres, il est fier de ses origines. Toutefois, il a été adopté. il est maintenant Américain. situation financière ($$$$$$), grenouille née dans la boue, le petit amphibien est devenu prince. Adopté par une famille fortunée, il est aujourd'hui blindé. Il use et abuse des moyens qu'on lui offre, fils à papa il ne s'en cache pas. statut civil Célibataire. Le gamin a toujours eut un sérieux problème avec les femmes. Le porno a ses limites. orientation sexuelle Hétérosexuelle. Le petit con aime les courbes sveltes, et les jambes élancées. ambitions|rêves Silas n'a foi en rien. C'est le petit con qui n'a pas d'ambition ; le stéréotype de la jeunesse égarée. Il est dans une bonne fac parce que papa a les moyens, il fait des mathématiques parce que c'est facile pour lui. Il ne veut pas faire d'effort et emmerde la raison. Le futur est flou, voir inexistant sans 'elle', sa sœur jumelle. Au fond, il veut la retrouver. j'aime emmerder le monde ; les tatouages ; les films d'horreur ; ne rien foutre ; fumer. j'aime pas le sérieux ; les connards ; le fromage ; les règles ; l'eau. traits de caractère malin ; insolent ; surdoué ; taquin ; rebelle ; grande gueule ; violent ; anarchique ; intelligent ; capricieux ; gamin ; débauché ; fêtard ; laxiste ; irresponsable ; sociable ; intrépide ; espiègle ; téméraire ; glandeur. crédits tumblr pour le gif.

anything you can do
Dans cette partie, vous devrez nous énumérer quelques informations que vous trouvez importantes concernant votre personnage : manies, tics, habitudes, allergies, une partie de son histoire, etc. Un minimum de quatre informations est demandé, mais essayez tout de même de nous dire quelques petits trucs sur votre personnage. Sachez que cette partie est obligatoire et ne peut être retirée.

Ton histoire ? Tu n'aimes pas en parler. Tu n'aimes pas dire ce que tu penses en général.  Ce n'est pas à toi d'en parler, de dire ce qui t'arrache le cœur et l'âme.  Tu te dis que ce n'est pas vraiment ton rôle. Tu dis que ce n'est pas à toi de parler. Là où ta mère souffle prudence, tu choisis un camps, brutalement, douloureusement. Tu goûtes aux excès de pouvoir, à ton statut. Tu épouses les idées sans y croire vraiment. Égoïste, égocentrique, tu navigues en eaux troubles.

Silas Nazarov ; 6 ans.
Quelle immonde créature. Elle te dégoûtait, là, avachit sur sa chaise en train de se goinfrer comme un porc. Et ce monstre n'était autre que ton père. Vous partagiez le même sang paraît-il, et si tes yeux n'étaient pas le reflet des siens, tu ne l'aurais jamais cru. Jamais. Tant est si bien que tu ne l'as jamais appelé 'papa', ne l'ayant pas mérité durant toutes ces années. 'Le vieux' ou 'l'alcoolique' suffisait amplement. Et bien que tu reçoives une paire de claques à chaque fois que tu prononçais ces mots, tu ne t'étais jamais arrêté de le nommer de cette manière. De quel droit pouvait-il se le permettre de toute façon ? Le sang ? Sous prétexte que tu sois sorti d'une de ses 'giclées' donc ? La bonne blague. Le respect qu'il réclamait de droit était une mascarade. Il était en train de se remplir la panse devant toi, mais toi, tu attendais une chose bien précise : qu'il ait fini. Et tu aurais sincèrement souhaité que ce soit pour débarrasser cette maudite planche de bois qui vous servait de table, mais c'était loin d'être le cas. « Alors aujourd'hui, sur qui je vais me défouler ? » Cette main qui tenait la tienne en dessous de la table, se resserra. Moite de peur, tremblant d'angoisse, tu caressas délicatement cette petite menotte pour la rassurer. 'La' sienne. A 'elle'. Toi aussi, tu avais peur pourtant, ton cœur battait la chamade, et l'effroi te rongeait les entrailles chaque soir, lorsque ce gros dégueulasse terminé son repas. Néanmoins, tu n'en avais jamais rien montré. Il ne fallait pas qu'elle le voie – surtout pas -, il fallait que tu tiennes bon. Pour 'elle'. Pour vous. Et puis avec le temps, c'était horrible à dire, mais tu as fini par avoir l'habitude. Tu t'étais accoutumé à sentir ses grosses mains s'abattrent violemment sur ta peau, à ses lèvres charnues prononçaient de vilains mots  ... Ce salopard t'a plongé en enfer. Il t'a entraîné dans sa chute, brisant la moindre parcelle de bonté qu'il y avait en toi ; saccageant ce monde d'innocence dans lequel tu aurais dû baigner à ton âge. « Moi. » Il avait réussi à détruire ce que tu étais. Tout, jusqu'à ton humanité. Mais tu as quand même réussi à préserver une chose, une seule et unique : ton amour pour 'elle'. Qu'il te batte, qu'il te fasse souffrir. Tant que tu l'avais 'elle', tu t'en fichais. Tu avais la force de tout supporter. Alors comme bien souvent, tu te dévouas corps et âme. Combien de fois s'était-il déjà défoulé sur toi ? Tu avais perdu le compte au fil des années. Et après que ce porc s'endormit, tu te purifias de toute cette violence d'une douche froide. « Silas ... » Presque un murmure, tu l'as regarda toujours nu. Elle était en train de pleurer, comme bien souvent. Comme tous les soirs. Tu savais qu'elle avait mal. Tu savais qu'elle agonisait de te voir encaissé tous les coups, pire, qu'elle souffrait quand c'était à elle de lui servir de punching ball. Quand ce calvaire allait-il s'arrêter ? Tu aurais aimé être plus âgé. Tu aurais aimé avoir la carrure pour faire payer à cette ordure. Grandir, mettait trop de temps. Alors à défaut de pouvoir se débarrasser de lui une bonne fois pour toutes pour qu'elle arrête de pleurer, tu l'as prit dans tes bras. Et tu te sentis comme tous les soirs, horriblement démunit. Il y avait tellement de colère et d'amertume dans ta bouche que si tu avais eut encore la capacité de pleurer, tu l'aurais sans doute fait. Toutefois, ton quota de larme, tu l'avais épuisé depuis longtemps, lors de cette nuit quand il te brisa plusieurs côtes. « Ça va aller Mila. C'est toi et moi pour toujours. » La consoler. Voilà ce que tu pouvais faire du haut de tes six ans. Seulement ça. 'Quand vais-je devenir un adulte ?'

adoption

“Il y a chez la mère qui adopte un enfant un sentiment sublime qui se rapproche du don pour le don.”

Silas (Jones) Rovers ; 10 ans.

« Nous ne pouvons pas adopter ta soeur Silas ... » Le gamin s'effondre dans le chaos des premiers chagrins, des premiers assassins de sa vie. Ses mains se crispent sur le jouet, ses ongles éraflant brutalement les plumes de la créature. Il a mal le petit ; Mila ne sera plus jamais là. Il fait voler l'hippogriffe au-dessus de sa tête qui se brise, se noyant dans bien des histoires pour oublier la sienne. Les larmes jaillissent, petit dernier de la fratrie, lui n'arrive pas à se retenir. Sa vue se brouille, se noie. Ça lui pique les yeux, mais la douleur n'est rien comparé à celle de son cœur. 'Silas !' La voix de sa soeur jumelle, elle n'est plus qu'un souvenir lointain, gelé. Elle n'est plus qu'une brise familière qui l'effleure, qui l'agrippe au visage. Il n'entendra plus jamais sa voix non plus. Le Vide est odieux. Un vilain monsieur. Il érafle les souvenirs, scarifie l'organe qui bat. Il prend, il vole sans remord pour ne rendre que vide et chagrin. « C'est pas juste ! » Non, rien n'est juste dans la vie, petit Silas. Première leçon que le gamin a apprit. Il ravale alors ses larmes et sa morve. Silas est malheureux, mais il est aussi en colère. Contre tout le monde. Contre sa mère adoptive qui ne disent rien, contre ses nouvelles sœurs, et surtout contre son père. L'homme est froid, distant. Annonçant la nouvelle de manière stoïque, insensible. Silas ne comprend pas, n'a jamais comprit cet homme qu'il doit appeler 'papa'. « J'te déteste ... » Chuchotis presque inaudible. Personne ne dit rien devant le paternel ; jamais. Or, le sale gamin n'en a toujours fait qu'à sa tête. La colère s’immisce dans ses veines comme un poison. Brutale. Sournoise. Il a mal, trop mal. « J'te déteste ! » Hurla-t-il. Rejetant la main de Betty, le petit prit la fuite.

Silas (Jones) Rovers ; 16 ans.

« Si une pute tombe enceinte, peut on appeler ça un accident du travail ? » Le fils indigne observe le paternel ; et si leur regard n'est pas semblable, leur cran vient du même moule pourtant. Le sale gosse n'a pas peur. L'austérité et la froideur lui caresse la peau, mais ne l'atteigne pourtant jamais. Le petit a toujours été ainsi. Envoyant paître ce qui le gêne, s'exprimant à cœur ouvert. Il a le caractère brut, sans futilité, ni retouche. Silas, c'est le mal élevé de l'équipe, celui qu'on a malheureusement raté. C'est celui à qui on tire toujours l'oreille, et pour qui on s'énerve. Il n'est pas du tout comme ses sœurs, elles, suivant à la lettre les doctrines du paternel. C'est le rebelle. C'est 'le' problème. Pourtant, des coups il en eu. Beaucoup, souvent. Tête dure a le gosse. Il se relève et gueule encore plus. « Bah quoi ? D'habitude tu m'en colle une parce que je m’investis pas assez ! » Silas, il aime se foutre de la gueule de tout le monde, mais surtout de celle de son père. Il a toujours eu un problème avec le paternel. « Sors de là ! Sors ! » Sourire sournois sur le visage. Silas avait atteint son objectif ! Réussir à écourter l'entretien hebdomadaire. Oui, parce que monsieur Rovers anciennement Jones ne faisait pas de réunion de famille comme tout le monde. La progéniture à l'instar des employés avaient des entrevues, du moins, avec son fils.

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pseudo|prénom cheyenne ; gaïa. âge|lieu de résidence 25 ans ; france. avatar le beau daniel bederov. fréquence de connexion sept jours sur sept. nature du lien c'est un pré-lien, celui de Sona. commentaires|autres